

































Culture BORARI
Après la Mission du Père Jésuite Manuel Ferreira en 1738, la population fut divisée entre 2 Aldeias et
par conséquent affaiblie.
L’une d’eux, dénommée Alter do Chão n’est plus aujourd’hui considérée comme une Aldeia mais bien comme un village dépendant de Santarém, la ville la plus proche (45km).
Actuellement, la Fondation nationale de soutien aux Indiens (FUNAI) reconnait environ 350 familles Borari dans le village d’Alter-do-chão qui s’est depuis ouvert à l’écotourisme, notre base est ici.
Bien que les changements en termes d’infrastructures et de métissage soient évidents, les descendants de ces peuples perpétuent la culture de leurs ancêtres, se manifestant à travers célébrations, rituels ou groupes de musiques.
Aujourd’hui, les jeunes Borari sont très impliqués dans la défense de leur propre culture mais aussi de l’activisme autochtone dans son ensemble.